11 novembre 1918, l'armistice

11 novembre 1918, l’armistice

Une victoire espérée « [L]’année prochaine sera peut-être le coup final et la défaite des Fritz » ; « il n’y a pas d’erreur, les Boches n’en ont pas pour longtemps » ; « cette guerre touche à sa fin »[1]… à partir de l’été 1918, combattants français et civils...
Les archives d'Abel Tissot

Les archives d’Abel Tissot

Les Archives municipales de Saint-Denis viennent de recevoir en don le fonds d’archives de René Louis Abel Tissot dit Abel Tissot. On y trouve de la correspondance amicale, amoureuse et familiale, des photographies ainsi que des carnets de guerre. Il sera bientôt possible de lire les carnets de guerre et...
Les poilus de Saint-Denis

Les poilus de Saint-Denis

Plus de 4000 poilus de Saint-Denis ont été portés disparus ou sont morts au cours de la Première Guerre mondiale. Les Archives municipales de Saint-Denis ont constitué une base de données dont l’objectif est de recenser ces soldats et de rassembler toutes les informations disponibles sur leur parcours. La base de...
Derniers articles
La collecte continue !

La collecte continue !

A l’occasion du centenaire de l’armistice, la municipalité de Saint-Denis invite les habitants à venir déposer une fleur, une bougie ou une archive personnelle au monument aux morts, place de la Résistance et de la Déportation, le dimanche 11 novembre 2018 à 11h. Les archives municipales, depuis le début des commémorations du centenaire en 2014,...
10 minutes une œuvre

10 minutes une œuvre

Samedi 10 novembre, à l’invitation des collègues de la médiathèque Centre-ville de Saint-Denis, les archives municipales participent à l’animation « 10 minutes une œuvre ». Nous présentons un carnet de guerre du poilu dionysien Abel Tissot, reçu en don en 2015. Extrait. Lundi 11 novembre 1918 […] A 16 heures, alors que je suis à côté de...
Le carnet de Claude Pupier sous les projecteurs

Le carnet de Claude Pupier sous les projecteurs

En 2013, une habitante de Saint-Denis a trouvé par hasard, rue de la République, un ensemble de petits carnets un peu mystérieux. Elle en a fait don aux Archives municipales. Il s’agit des carnets de Claude Pupier, officier-interprète, capitaine de réserve attaché à l’état-major du maréchal Foch. Parmi eux, l’agenda du quatrième trimestre de 1918...
Le livret de chants de Vincent Dussurget

Le livret de chants de Vincent Dussurget

D’où provient ce document ? Il a été apporté aux Archives municipales de Saint-Denis par Jean Dussurget, le petit-fils de son rédacteur, en février 2014. Le service le conserve en version numérique, sous la cote 76 S 6/3. Ce document, c’est quoi ? C’est un petit cahier, à couverture rouge, où ont été copiées, de...
Musiciens militaires

Musiciens militaires

Des musiciens mobilisés « L’inscrit est-il musicien ? » « De quel instrument joue-t-il ? » Ce sont les deux premières questions que comporte la rubrique « renseignements divers » du formulaire de recensement militaire au début du vingtième siècle. En 1911, sur les 544 jeunes hommes recensés à Saint-Denis, 38 (environ 7%) jouent ainsi...
Popote de poilu (3) : repas au front

Popote de poilu (3) : repas au front

  La « popote », dans l’argot des poilus, peut désigner bien sûr la nourriture elle-même, ou le fait de la cuisiner. Mais pourquoi le soldat dionysien Abel Tissot légende-t-il dans son carnet de guerre « notre popote à Vaumoise » la photographie ci-dessus ? Parce que dans les tranchées, ce mot est aussi employé pour...
Popote de poilu (2) : cuisiner au front

Popote de poilu (2) : cuisiner au front

En plus de la nourriture elle-même, la « popote », dans l’argot des poilus, c’est aussi le fait de cuisiner. Sur le front boueux de la Première Guerre mondiale, qui est chargé de le faire ? Comment ? Existe-t-il une cuisine militaire ? Soldats et cuisiniers Pas d’école de cuisiniers militaires en France, au contraire de ce...
Popote de poilu (1) : dans l’assiette

Popote de poilu (1) : dans l’assiette

Dans les témoignages, les récits, les correspondances de soldats de la Première Guerre mondiale apparaît un terme récurrent : la « popote ». Ce terme d’argot avait plusieurs sens et le premier d’entre eux, c’est la nourriture elle-même. Que mangeait-on dans les tranchées ? Comment les poilus amélioraient-ils leur ration officielle ? Une gamelle fastidieuse...
Cher filleul…

Cher filleul…

Comment soutenir les soldats qui ne reçoivent jamais de courrier ? Ceux dont la famille est prisonnière de la zone occupée ? Ceux qui n’ont plus personne ? C’est pour tenter de combler ce manque que, fin 1914, naît l’idée des marraines de guerre. Dès 1915, des associations sont donc créées pour mettre en relation civils et combattants....
Guide des sources de la Guerre de 14 à Saint-Denis

Guide des sources de la Guerre de 14 à Saint-Denis

Ce guide rassemble l’ensemble des sources en lien avec la Première Guerre mondiale conservées par les Archives municipales de Saint-Denis.  Il comprend les archives communales, des archives privées souvent reçues en don, des archives écrites, iconographiques, audiovisuelles… Chaque référence fait l’objet d’une description synthétique et propose des pistes d’exploitation. De nombreux documents numérisés, signalés dans ce guide...
Prendre le tramway ?

Prendre le tramway ?

Pas de métro à Saint-Denis en 1914 : pour aller au lac d’Enghien ou à Opéra, il faut souvent prendre le tramway. Il passe devant l’hôtel de ville, la salle des fêtes (qui abrite désormais le théâtre Gérard Philipe), rue de la Briche, avenue de Paris (aujourd’hui avenue du Président Wilson), rue du Fort de...
Ecole de guerre

Ecole de guerre

A l’été 1914, pas de répit pour les écoles : certaines d’entre elles sont réquisitionnées alors que les élèves sont à peine partis en vacances. Dès le début du mois d’août, les locaux de celle de la rue Franklin, à Saint-Denis, sont ainsi occupés par le 1er régiment de marche de zouaves. Et le personnel...