Tag "solidarité"
Popote de poilu (1) : dans l’assiette

Popote de poilu (1) : dans l’assiette

Dans les témoignages, les récits, les correspondances de soldats de la Première Guerre mondiale apparaît un terme récurrent : la « popote ». Ce terme d’argot avait plusieurs sens et le premier d’entre eux, c’est la nourriture elle-même. Que mangeait-on dans les tranchées ? Comment les poilus amélioraient-ils leur ration officielle ? Une gamelle fastidieuse...
Guide des sources de la Guerre de 14 à Saint-Denis

Guide des sources de la Guerre de 14 à Saint-Denis

Ce guide rassemble l’ensemble des sources en lien avec la Première Guerre mondiale conservées par les Archives municipales de Saint-Denis.  Il comprend les archives communales, des archives privées souvent reçues en don, des archives écrites, iconographiques, audiovisuelles… Chaque référence fait l’objet d’une description synthétique et propose des pistes d’exploitation. De nombreux documents numérisés, signalés dans ce guide...
Hôpitaux de l'arrière

Hôpitaux de l’arrière

Dès le mois d’août 1914, les trains évacuent des milliers de blessés depuis le front vers l’arrière. Les hôpitaux civils, comme l’hôpital de Saint-Denis, deviennent « mixtes » pour pouvoir accueillir les soldats. Mais, comme les hôpitaux militaires, ils sont vite saturés. Il faut créer de nouveaux lits.   Le Service de santé des armées ouvre donc...
La correspondance du maire

La correspondance du maire

Les Archives municipales de Saint-Denis ont numérisé et publié l’intégralité de la correspondance reçue et envoyée par le maire et la municipalité entre août 1914 et décembre 1918. Mois par mois, il est possible de s’immerger dans le quotidien des habitants de Saint-Denis : les familles de mobilisés, les réfugiés du nord et de l’est de...
Colonies de vacances

Colonies de vacances

Pour permettre aux enfants de changer d’air, la ville de Saint-Denis finance dès 1907 l’organisation de colonies de vacances, appelées alors « colonies scolaires ». Mais la déclaration de guerre y met un point d’arrêt. Aucun séjour n’est organisé de 1914 à 1916. À partir 1917, la mairie décide de faire appel à la solidarité...
Matinée de bienfaisance

Matinée de bienfaisance

Au début de la guerre, la population et l’administration n’imaginent pas encore que le conflit va durer plus de quatre ans. Les premières batailles sont dévastatrices et meurtrières, mais dans l’esprit de tous la victoire viendra vite. Rapidement pourtant, la situation s’enlise et vient une guerre de position où les armées se font face, s’installent...