Blessé au doigt un jour de septembre 1914, le soldat d’origine dionysienne Ernest François Macken est évacué dans une ambulance à proximité. Les médecins le soupçonnent aussitôt de s’être volontairement mutilé pour quitter le front et être évacué dans un hôpital de l’arrière. Interrogé le quatre septembre, après avoir été conduit en prison, le jeune...